Ne me libérez pas, je m’en charge
L'exil des femmes immigrées a été accompagné par la voix de grandes chanteuses
« Plus invisible que le travailleur immigré, il y a sa femme ». À travers des chansons qui ont bercé plusieurs générations des deux rives de la Méditerranée, ce spectacle donne chair à l’histoire de femmes à l’expérience singulière, et pourtant si peu relayée, et ravive le souvenir de grandes voix maghrébines qui marquèrent les combats pour l’émancipation féminine : Najat Aatabou, Hanifa ou Cheikha Remitti.
Méziane Azaïche : conception et mise en scène
Géraldine Benichou : co-mise en scène
Naïma Yahi : écriture
Nasredine Dalil : direction musicale
Tanina Cheriet : comédie & chant
Nadia Ammour : chant
Samia Diar : chant, guitare
Musique : Amar Chaoui (derbouka, percussions, chœurs), Abdenour Djemaï (guitare, mandole, chœurs), Rafik Korteby (claviers), Hichem Takaoute (basse, chœurs)
Aziz Smati : vidéo