Le montage de l’exposition Traces du vivant en images

À quelques jours de la fermeture de l’exposition Traces du vivant, nous vous proposons de revenir en images sur son montage.

Les os, les dents et les cornes sont les seuls tissus vivants qui ne disparaissent pas chez certains vertébrés après leur mort. Ces vestiges racontent l’histoire de ces animaux mais aussi celle des sociétés humaines qui, depuis la Préhistoire, utilisent ces tissus devenus inertes pour façonner divers outils et objets. La scénographie conçue propose un parcours théâtralisé, qui s’organise autour d’un grand plateau d’anatomie comparée et d’une mise en scène de squelettes d’animaux. En périphérie, des vitrines au fond coloré donnent à voir « l’os transformé » et « l’os culturel ». Sur les murs, un bestiaire imaginaire s’anime en couleurs vives en écho au vivant.
L’exposition présente 211 pièces. Parmi elles, 94 sont issues de la collection ostéologique du musée des Confluences, riche de 4 000 pièces : squelettes, ossements et fragments, provenant d’animaux de tous les groupes zoologiques et du monde entier.
Pour redonner forme aux squelettes, un vrai travail de mise en scène a été imaginé par les équipes des collections et de la muséographie.

Galerie

© Métropole de Lyon - Thierry Fournier
© Métropole de Lyon - Thierry Fournier
© Métropole de Lyon - Thierry Fournier
© Métropole de Lyon - Thierry Fournier
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© Métropole de Lyon - Thierry Fournier
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© Métropole de Lyon - Thierry Fournier
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